• Cadavres de Kleenex,
    répandus sur ton ombre carrée,
    ton corps domine ton âme.
    Hygiène, où es-tu ?
    Loin,
    derrière mon corps tordu.
    Tout contre les lacets
    de mon bermuda.
    Abdos artificiels,
    cheveux de pionniers.
    Botox sur ton visage
    Frotox sur mon mirage.
    Glace.
    Vers le rouge
    Vert le noir.
    Mange ton rouge.
    Vois ton rouge.
    Déconnexion mentale,
    cimetière de morve fatale.
    Rrrrr
    Salsa & Garce,
    vont péter un câble.
    Get lucky, please.
    K. H. n'aurait pas fait mieux.
    Designer babies ?
    Oui, il aurait du.
    Healtwatch,
    dans ta face,
    biatch.
    Vain jour de printemps,
    où les mots se perdent dans le temps.
    Salsa & Garce -

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  • Pascal, revient moi.
    Pascal, cuit ma viande.
    Pascale, sors moi un orgasme.
    Pascal, mon amputé.
    Pascal, mon grand brûlé.
    Pascal, montre tes griffes.
    Pascal, calme moi.
    Pascal, lèche tes poils.
    Pascal, de ma vie.
    Pascal, tu t'en es sorti.
    Pascal, Saint Marc reste en toi.
    Pascal, sale pédale.
    Pascal, petit barbare.
    Pascal, lumière de ton sexe.
    Pascal, du moment inconnu.
    Salsa & Garce -

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  • Le Soleil me tape encore sur le dos,
    pourtant, je m'en éloigne.
    Je ne pleure pas,
    je n'ai besoin de personne.
    Je ne souris plus,
    car je ne cesse de penser a mon passé.
    Hé !
    Il n'y a plus de salut, plus de pardon.
    Seul Brian me garde en vie.
    Elle se renferme sur elle-même,
    il fume alors les yeux.
    Sans chercher de solution vide,
    je suis dénuée de sens.
    Toile blanche depuis longtemps,
    j'essaye alors de trouver ma couleur.
    Mais l'orage m'en empêche.
    Agneau de Dieu,
    et Anton au milieux de la foule.
    Je suis folle et c'est si doux.
    D'Hérault au Var,
    je suis perdue dans mon voyage.
    Seul la mer me reste en repère.
    Si les enfants joyeux 
    permettent au monde de tourner,
    la lumière embrumée arrête la pendule de ma pensée.
    Face a ton visage, je coule d'horreur a l'heure.
    Balancée au milieu du trottoir,
    je plante des cheveux sur le crâne des cavaliers.
    D'un mythe inconnu,
    on en connait la couleur -
    Rouge
    Rouge
    crie-t-elle dans son bagne.
    Barbouillé de tout les choix possibles,
    tu peux appeler a l'aide le fétiche invisible.
    Baphomet avait raison
    "Rien ne s'achète, tout se vend".
    Jte baf que tu e m verso la Fontène Noirte.
    Salsa & Garce -

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  • Partie pour psychopathe,
    son air désespéré me décourageait.
    Tu ne cherches pas a être aimée.
    On ne savait pas sa vrai couleur.
    Sale silence dans un royaume pourris.
    Pourtant on connaissais son caractère.
    Tu perds le sens des réalités.
    Elle était vêtue de sapes colorées.
    Physiquement proche de Courtney,
    quand elle parlait on la reconnaissait.
    Tu cherches le Love dans le sexe.
    Et elle ouvrait la bouche dans le silence.
    Mariée au vide,
    tu as épousé la nuit.
    Et son ombre m'éblouissait.
    Gare a son ombre.
    Elle avait sa propre odeur,
    dévêtue dans un cercueil.
    Une odeur reconnaissable a quelques vielles.
    Alain dénigre ta physionomie.
    Dans son village, elle était heureuse.
    Difficile d'être toi.
    Dans notre ville, elle était malheureuse.
    Mais tout aussi difficile d'être nous.
    Salsa & Garce -

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  • Dégoulinante d'amour,
    le monde ne voit plus tes yeux.
    La parfaite inconnue encerclée,
    tu ouvres la bouche pour dire pardon.
    Oublie que le ciel en colère l'aime,
    tu sens la fumée de cette nuit.
    Sous ses bras joints,
    tu cours vers le bonheur.
    Coule la rivière des souvenirs.
    Tu ne les trouvent pas.
    Dans sa main blanche d'ébène,
    se reflète ta mélancolie,
    s'alignent les joyaux du printemps.
    Ferme la fenêtre de ta main.
    Poème grave,
    pour un amour d'été.
    Ils te trompent tout les cinq,
    caressés par la brise.
    Tu restes alors,
    incomprise par la vie,
    et la tristesse salée.
    Tu dois partir,
    mais tu ne veux pas.
    Ton maillot de bain rayé.
    La volonté s'acquiert le long de ta pensée.
    Ton décollement de racines.
    Prend ton envol comme un oiseau.
    Rien ne l’empêchera de partir,
    de migrer le long des chemins de pierre.
    Il t'aime.
    Tu la voie,
    la lumière au fond ?
    Mais le vent est plus fort.
    C'est juste une nouvelle ère,
    qui s'ouvre pour toi,
    mon ange.
    Salsa & Garce -

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  • En noir et blanc tu n'en es que plus beau,
    Luxure de ses pensées.
    Elles te font sourire comme un démon,
    dans le théâtre de son cœur.
    Il te faut ton ange pour avancer.
    Et l'octopus vulgaris peut ouvrir un bocal.
    Rester debout pour lire ton futur.
    Et il s'en fiche, debout sous la pluie.
    Tu ne te détruis plus,
    tu marches.
    Merci aux oiseaux de chanter.
    Mais ton âme y reste toujours,
    belle.
    Les chat miaulent a dit 7YB.
    Tu jouis de la vie,
    comme si tu devais t'éteindre demain.
    L'inspiration masculine,
    tu ne pleurs jamais sauf quand tu es seul.
    Adieu aux papiers kraft,
    il te faut songer au passé pour t'arrêter.
    L'usine de mon cœur a fermé,
    et tu pars quand tu as fini,
    depuis longtemps déjà.
    Les tristesses d'un nuage te parlent,
    décoiffée et déçevante.
    Mais perdue d'avance, tu nages.
    Tu la regardes, elle,
    la belle.
    Tu nages,
    le courage d'aimer.
    Que choisit ton cœur de pierre ?
    Car tu as peur de la réalité.
    Relents noirs de verdure,
    Qui t'ouvres les merveilles de ta maxime ?
    Brisée sur le roc.
    Salsa & Garce

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  • Personnage mythique,
    légendaire héros au chandelier.
    Comme dans un Besson,
    tu veux tuer.
    Tu peux choisir qui tu veux être.
    Allons dîner chez
    Michou,
    demain soir.
    Sous tes allures de lunatique,
    tu n'es pas pathétique.
    Peut-être que le monde a un problème,
    pendant que tu cabrioles avec le faune.
    Marche sous la neige,
    pour sentir le vent.
    Cours sous la pluie,
    pour voir ses yeux.
    Arnie, tu es là -
    Il est le maître au visage expressif.
    Tu n'est que l'ombre de ton hombre.
    Il ne suffit pas de jouer avec la lumière,
    pour trouver le Soleil.
    Ébloui au confins de l'Univers,
    penché au dessus du couffin du monde.
    Tu donnes un bébé a Rosemary.
    Tu te dis bon,
    mais seul Dieu est bon.
    La beauté est dans les yeux de celui qui regarde.
    Je te regarde.
    Tu es mon Charles,
    je pourrais bien être la Tate de ton cœur.
    Je désapprouve.
    Mais c'est La Famille.
    Salsa & Garce -

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  • Le tableau noir t'ouvre sur ton passé,
    dressé au fond du trou noir.
    Il s’efface quand tu veux,
    resplendissant de culture.
    Mais malgré cela,
    il reste écrit.
    Tout ce que je déteste est en toi.
    Tu combles ton malheur en regardant derrière.
    Tatoué en blanc sur la toile verte.
    Tu es fier.
    Hanté par l'horreur de ta vie.
    Tu es là et tu rougis.
    Autour de toi s'aligne l'ombre.
    Comme la croix qui frissonne,
    bla bla continu,
    qui résonne dans le vide.
    Regarde le en face, et songe -
    Tout est trouble autour.
    Songe a ton complexe.
    L'affreux Boogey Man te lacère -
    Il la suivie toute sa vie.
    Rapé et souillé, tu es au bout.
    Tu te dit artiste mais tu ne l'es.
    Ami des ignorants,
    Guerre et Paix,
    tu es le même.
    Adieu.
    Bonjour.
    Mal être, tu es un être d'hier.
    Dix années de ma vie,
    et Hyères a son Soleil.
    Attachement dérisoire,
    le tableau a son nuage.
    Sur le rasoir d'Ockham.
    Salsa & Garce -

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  • Prunier d'automne a l'ombre ardente,
    J'ai inscrit ton nom a l'encre rouge invisible.
    Jaune perfide,
    dans le creux de mes reins.
    Sous la coupe de mes mains.
    Tendues de sommeil,
    et de Soleil.
    Puissant et dévastateur,
    ainsi je crois au monde libre.
    Ainsi la nature est bien faite.
    Malfaisante est la comparaison.
    Salsa -

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  • L'opportunisme mirobolant,
    porte ouverte au déclin du futur.
    Derrière la sombre noirceur de plâtre,
    je me battrais pour cette cause.
    On ne naît pas Simone,
    on le devient.
    Je ne crois pas aux miracles,
    ni aux dénis de courtoisie.
    Je ne crois pas qu'il existe une porte,
    qui conduise vers le Grand Mage Pépito.
    Grand prêtre du rien, du tout.
    Jimmy Page le croyait.
    Alors il écrivit STH.
    Comme cette montre cassée,
    on égrène les recoins sombres.
    Suite interminable de ceux,
    a qui nous rendons hommages.
    Vibrant ou gelé.
    La commémoration ne se fait pas sans sacrifices.
    La musique de certains nous a sauvé des artifices.
    Dans le coeur de tous se cache un grand secret.
    Salsa -

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  • Je te roule,
    Je te fume,
    tu es dans mes poumons.
    Monoï décharné sur ta peau incongrue,
    abandon de ton esprit,
    demain au mileu de nous.
    Regarde cette couleur.
    Elle est brune sous le drapeau de la Jamaïque.
    Blonde en vacance,
    jupe crayon sous jacente.
    Pas de repos illusoire pour le jeune inconnu.
    Repos de la tête,
    repos de la peau dans l'eau.
    Je t'aime bien,
    Rasta.
    Quand tu es dans ma caméra.
    Bye Bye Blondie,
    au bord du bassin.
    Loin du Stars and Stripes tatoué dans ton dos.
    One More Time, enlève ton casque,
    et remonte ton pantalon.
    Sans repos, soldat.
    Crasseux de savon.
    Douceur électrique dans le jardin.
    Je ne suis que flaque d'eau dans ton porte-monnaie.
    Je suis vide et pauvre.
    Humanitaire et doucereuse, sur le cadre de ta vie.
    Au revoir Seigneur.
    Malgré le style que tu élances,
    ton oxygène remonte les boiseries de ton âme malsaine.
    Sur les pages cornée de ton roman,
    Deux personnes enlacées sur ton papier glacé.
    Brume de rose dans mes poumons.
    Feuilles de Mr OCB.
    Salsa & Garce -

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  • Cela fait bien longtemps que je n'ai pas écrit.
    Retournée vers le garçon,
    elle lui a dit "Je t'aime".
    Partir vers le Soleil,
    elle devient sensuelle.
    Sensuelle sous la Marquise verte
    du Meadow View Motel.
    Des flamants roses dans la piscine
    et un ouragan de plumes.
    La nuit vient vers la poussière de tes yeux,
    tu pleures ainsi,
    et ton âme perd sa pitié.
    Demain tu seras partie,
    marchant sur les chemins.
    Te retournant a chaque pas,
    Leatherface n'est jamais loin.
    Mais aujourd'hui le vent te fais peur -
    Tu deviens en colère
    et tu reste le tonneau et la clareté.
    Lumineuse au High Voltage Tatoo,
    beaucoup trop sombre sur la selle de ton vélo.
    Mais comme elle dirait : "Partir, c'est finir".
    Ton Ghetto Blaster doré jouera du Alice Cooper,
    et tes bottes claqueront sur le pavé.
    Les cloches sonnent,
    tu sens le sang
    et ta raison me donne tort.
    Je suis perdue.
    Le rouge,
    le bleu,
    et le blanc dans le ciel.
    Sous le ciel bleu et joyeux.
    Un ciel d'été.
    Salsa & Garce -

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  • "Il nous faut peu de mots pour exprimer l'essentiel"

    -Paul Eluard, Extrait de Avenir de la Poésie


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  • Rouge de dentelle,
    la perfection.
    Le violet de ton regard mort.
    Dormir a l'ombre de la nuit,
    dans ton cercle mûr comme un fruit.
    Sombre pensée extrapolée,
    car le rêve est mort.
    De façon hyperbolique,
    Symbolique.
    Pureté perdue,
    lorsque personne se noix, dit l'écureuil.
    Demain dors depuis hier,
    et hier est né,
    lorsque je suis morte.
    Salsa -

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  • Prunier d'automne a l'ombre ardente.
    J'ai inscrit ton nom a l'encre rouge invisible.
    Jaune perfide,
    dans le creux de mes reins.
    Sous la coupe de mes mains,
    tendues de sommeil et de Soleil.
    Puissant et dévastateur,
    ainsi je crois au monde libre.
    Ainsi la nature est bien faite,
    Malfaisante est la comparaison.
    Salsa -

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